Université, composantes et services
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« Mettre en œuvre une politique au bénéfice de l’ensemble des personnels »

Elisabeth Demont, vice-présidente Ressources humaines et Politique sociale

Conjuguer maîtrise de la masse salariale et rayonnement de l’établissement, accompagner la progression de carrière, encourager la formation, favoriser le bien-être au travail… Elisabeth Demont, vice-présidente Ressources humaines et Politique sociale déroule sa feuille de route pour les quatre ans à venir.

Il s’agit de votre premier mandat : pouvez-vous vous présenter aux lecteurs de L’Actu ?
Après ma thèse à l’Université de Bourgogne, j’ai été nommée en 1996 maître de conférences à l’Université Louis-Pasteur, puis en 2004, professeur en psychologie du développement. Depuis le début de ma carrière, je me suis attachée à remplir mes missions d’enseignement et de recherche, mais aussi celles liées à la vie institutionnelle, que ce soit au niveau de ma faculté, de l’université ou encore au niveau national. J’ai notamment assumé différentes responsabilités pédagogiques ou administratives au sein de la Faculté de psychologie. Jusqu’en 2015, j’ai été présidente de la 16e section du Conseil national des universités.

Une fonction déjà en lien avec les ressources humaines…
C’est vrai ! Lorsque j’ai été sollicitée pour la vice-présidence Ressources humaines, je me suis souvenue que l’un de mes professeurs à Dijon m’avait incitée à postuler à un DESS Ressources humaines… Mais à l’époque, je souhaitais avant tout faire une thèse en psychologie du développement. Mon passé me rattrape !

Comment envisagez-vous votre mandat ?
C’est très enthousiasmant ! Déjà presque trois mois de prise de fonctions, le temps file. En m’appuyant sur l’existant et les résultats des expériences antérieures, je souhaite passer rapidement aux actes. La nouvelle équipe trouve une situation stabilisée avec une masse salariale maîtrisée, une situation des contractuels régularisée… Sans compter que l’Idex est un levier de taille. Cela nous laisse une certaine marge de manœuvre. Nous souhaitons développer un dialogue avec les composantes et les unités dans une perspective de gestion pluriannuelle.
Les premières semaines de mon mandat ont été largement consacrées à rencontrer mes interlocuteurs principaux, Direction des ressources humaines (DRH), Direction générale, directeurs et responsables administratifs de composantes, représentants des organisations syndicales. J’aimerais souligner ici l’appui fort des services, la compétence et la réactivité des collègues de la DRH. Je conçois mes missions dans un esprit de concertation et de dialogue avec mes collègues vice-présidents mais également avec l’ensemble des acteurs de l’université. Avec la DRH bien sûr. Nous disposons d’un certain nombre de leviers communs.

Quels sont-ils ?
Le nouveau régime indemnitaire Rifseep, la prise en compte du décalage grade-fonction, le dispositif Sauvadet de titularisation… Tout ceci témoigne du souci de l’établissement d’agir en faveur de l’ensemble de son personnel. À nous également d’imaginer des actions pour agir à partir des cadres réglementaires.

Quels dossiers identifiez-vous comme prioritaires ?
Être vice-présidente RH, cela va au-delà de la mise en place des campagnes d’emplois : je souhaite œuvrer pour accompagner au mieux les personnels dans leur progression de carrière, qu’ils soient enseignants-chercheurs ou Biatss. Cela ne veut pas dire promettre un poste de professeur à chaque maître de conférences ou une promotion à chaque administratif, mais leur ouvrir des perspectives, reconnaître l’investissement et l’implication professionnelle de chacun. La situation financière saine nous permet de réfléchir aux actions garantissant l’attractivité de notre université. Mais il est également important pour moi de définir des actions au bénéfice de tous ceux et celles qui font fonctionner l’université au quotidien. L’accompagnement des personnels passe également par la formation tout au long du parcours professionnel et ce dès la prise de fonctions à l’université. L’Institut de développement et d'innovation pédagogiques (Idip), le Département de la gestion et du développement des compétences de la DRH sont autant d’acteurs-clés.
Je souhaite faire du bien-vivre au travail une autre de mes priorités. Un groupe « Qualité de vie au travail » existe déjà, je m’en réjouis. L’Université de Strasbourg a été pionnière dans le domaine des risques psycho-sociaux. Il s’agit de reprendre ce dossier, pour agir en amont, côté prévention, en coordination notamment avec le Service de santé au travail et la psychologue du travail.
Rendez-vous dans quatre ans pour constater l’avancée des dossiers !

Recueilli par Elsa Collobert

75 % : C'est la part du budget de l’établissement consacrée à la masse salariale

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Un programme national pour l'insertion des diplômés en sciences humaines et sociales

L'Université de Strasbourg a été retenue aux côtés de dix autres établissements pour intégrer un programme pilote. Objectif commun : déterminer par l'expérimentation les dispositifs les plus pertinents en faveur de l'insertion professionnelle des diplômés en sciences humaines et sociales (SHS).

L'appui à l'insertion des étudiants et diplômés en SHS figure parmi les objectifs du Plan sciences humaines et sociales, lancé en juillet 2016 par Thierry Mandon, secrétaire d'État chargé de l'Enseignement supérieur et de la Recherche.
L'annonce a été faite lundi 20 mars : l'Université de Strasbourg figure parmi les onze établissements d'enseignement supérieur et Comue (Communauté d'universités et d'établissements) retenus par le ministère pour intégrer un groupe pilote. Aux côtés des universités de Lorraine, de Toulouse 2 ou encore d'Aix-Marseille, l'Unistra avait répondu à un appel à manifestation d'intérêt lancé en décembre.
L'Université de Strasbourg se voit attribuer un poste dédié à la thématique, et travaillera auprès de ses co-lauréats à capitaliser les pratiques et les dispositifs les plus pertinents en matière d'insertion des diplômés des SHS, pour les mettre au service de l'ensemble de la communauté.

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Un nouveau dispositif de soutien pour mobilités et projets à l’international

Vous souhaitez faire une mobilité professionnelle à l'étranger ou développer une coopération internationale et savoir si votre projet peut bénéficier du soutien financier de l’université ? Plus besoin de vous plonger dans les dispositifs existants pour repérer les possibilités : adressez-vous au nouveau dispositif de soutien aux relations internationales mis en place par la Direction des relations internationales et Eucor - Le Campus européen.

Pour candidater auprès de cette entrée unique, qui réunit l’ensemble des enveloppes financières (150 000 euros dont 70 000 financés par l’Idex pour l’année 2017) dédiées à ce type de projets, rendez-vous sur unistra.fr, rubriques Université/International, et répondez au « quizz » : une série de questions fermées qui permettent d’évaluer votre éligibilité au dispositif.
Puis, un collègue de la Direction des relations internationales (DRI) ou d’Eucor – Le Campus européen reprendra contact avec vous pour finaliser votre demande. Le dossier instruit passera par la commission, qui se réunira désormais tous les mois, et plus seulement quatre fois par an. Vous serez donc informés au plus tard au bout d’un mois de la réponse apportée à votre demande.

Eucor - Le Campus européen aussi

« Ce dispositif a été mis en place à la demande d’Irini Tsamadou-Jacoberger, nouvelle vice-présidente Relations internationales, explique Sylvia Mesa, responsable de ce dispositif, dans l’objectif de faciliter et de favoriser les projets. » Il réunit à la fois des dispositifs préexistants et nouveaux. En fonction des financements existants, il peut s’adresser aux enseignants, enseignants-chercheurs, chercheurs, personnels Biatss, ainsi qu’aux doctorants.
« Il nous semblait logique qu’Eucor – Le Campus européen, qui ambitionne aussi de développer des coopérations entre ses établissements membres, s’associe à la démarche », complète Aurelle Garnier, coordinatrice d’Eucor – Le Campus européen. Le périmètre est juste un peu différent : un soutien peut être attribué non seulement à des projets de formation, d’administration ou de vie étudiante, mais également à des projets de recherche dans le cadre du Campus européen, ce qui n’est pas le cas dans le cadre général du dispositif de soutien aux relations internationales.

Caroline Laplane

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Quelle police utiliser dans sa messagerie électronique ?

Pour échanger avec vos contacts dans Thunderbird, préférez les polices Arial et Times.

Vous êtes nombreux à l’avoir déjà fait ou à vous demander comment intégrer les polices de caractère Unistra et Brill à votre application de messagerie préférée. Mais pour des raisons de compatibilité technique, cette pratique n’est pas recommandée. Dans ce cas, préférez Arial et Times !

Dans les courriels et signatures électroniques, newsletters et autres invitations, il n'est en effet pas possible de garantir que les polices Unistra et Brill s'affichent ni que leur taille corresponde parfaitement à celle d'origine sur l’ordinateur du destinataire de votre message, s’il ne dispose pas de la police installée.
C’est pourquoi l’équipe en charge du déploiement du langage visuel de l’université propose d’utiliser dans vos échanges de courriels un jeu de polices de caractères web safe, compatible avec tous les navigateurs et commun à tous les systèmes d'exploitation. Voici un tableau d’équivalence pour vous aider à choisir vos polices en fonction de votre configuration :

Équivalences Windows Mac OS Linux
Unistra (sans empattements, sans serif) Arial Helvetica Liberation Sans
Brill (à empattements, serif) Times new roman Times Liberation Serif
N/A (à chasse fixe, monospace) Courier New Courier Liberation Mono
  • Beaucoup de réponses aux questions que vous vous posez sont déjà dans la boîte à outils

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Coopération renforcée avec l'université australienne d'Adelaide

Irini Tsamadou-Jacoberger, vice-présidente Relations internationales de l’Université de Strasbourg et Nancy Cromar, son homologue pour l’Université d’Adelaide

L’Université de Strasbourg a reçu pour la première fois, lundi 27 mars, la visite de Nancy Cromar, vice-présidente Relations internationales de l’Université d’Adelaide (Australie). L’Unistra compte actuellement parmi les trois partenaires européens de l’établissement.

Cette visite était l’occasion de faire le point sur les collaborations existantes et à venir entre les deux universités.
Outre des échanges d’étudiants et leur partenariat dans le cadre du réseau interuniversitaire AC21 , les universités ont déjà développé des coopérations d’envergure. La participation de l’EM Strasbourg au consortium Scribe 21, destiné à créer des synergies de formation et de recherche entre l’Europe et l’Australie, a donné lieu à un double-diplôme. De son côté, l’École nationale supérieure d’architecture de Strasbourg (Ensas) a pu s’appuyer sur les liens de l’Unistra afin de construire une collaboration avec l’établissement australien. En juillet 2016, avec l’appui de l’AC21, l’Ensas avait co-organisé l’atelier « Partager le port du Rhin » avec l’Université d’Adelaide, l’Université de Tongji (Chine) et la Faculté des sciences économiques et de gestion de l’Unistra. Il avait rassemblé 17 étudiants autour d’un projet d’aménagement urbain dans le quartier du Port du Rhin à Strasbourg. Cet atelier sera réédité en Australie en avril prochain.
Une rencontre complémentaire avec Nancy Cromar est prévue à la rentrée prochaine, afin de définir les prochaines étapes de la coopération, qui devrait voir s’intensifier les échanges, tant de recherche que de formation.

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Une préparation linguistique et interculturelle avant un départ à l'étranger

Un dispositif de Préparation linguistique et interculturelle est proposé aux étudiants afin de les accompagner dans leur projet de départ en programme d’échange. C'est la troisième année que la Direction des relations internationales, avec le Centre de ressources de langues Spiral, le met en place.

Ce programme a pour objectif de favoriser la réussite des projets de mobilité des étudiants. Il comprend notamment entre six et dix heures de formation dans la langue du pays d’accueil de l’étudiant. Des ateliers thématiques permettent également aux étudiants de se familiariser avec des aspects socioculturels et d’appréhender les démarches liées à leur arrivée à l’étranger. Une quinzaine de groupes-pays sont proposés. Les étudiants peuvent aussi s’autoformer au Centre de ressources en langues. En complément, un forum est organisé jeudi 18 mai, à la Maison universitaire internationale. Son but ? Permettre aux étudiants revenus de mobilité, aux étudiants étrangers en mobilité à Strasbourg et aux étudiants sur le départ de partager leurs expériences.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2017

 Avril Mai
Conseil académique
14 h - Mardi
 / /
Congrès
14 h - Mardi
 / /
Conseil d'administration - CA
14 h - Mardi
 4 9
Commission de la formation et de la vie universitaire - CFVU
14 h - Mardi
 11 16
Commission de la recherche - CR
14 h 30 - Mercredi
 / /
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 / 2
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 / 5
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 / 15
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 / /
Comité technique d'établissement
8 h 30 - Jeudi
 27 /

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Liens vers les lettres électroniques utiles